Comme nous n’avions pas de groupe non chargé pour servir de base, on pourrait soutenir que les différentes performances des groupes de stratégie pourraient être dues à la dépréciation de l’utilisation de la FDS plutôt qu’à la avantage de FBS. Nous pensons que c’est peu probable selon ce qui a été trouvé dans d’autres recherches. Comme nous l’avons examiné précédemment, il n’a jamais été signalé que l’utilisation de FDS nuirait aux performances des utilisateurs, bien qu’elle n’ait pas toujours profité aux participants dans la même mesure ou de la même manière. Plus important encore, il y a deux raisons pour lesquelles nous n’avons pas utilisé un groupe non enseigné comme base de référence. Premièrement, nous ne pouvions pas contrôler la stratégie qu’un participant pourrait adopter dans un tel groupe témoin, de sorte qu’elle ne clarifierait pas la principale question que nous posons dans l’étude en cours sur la question de savoir si la FBS est plus efficace. stratégie de suppression de la pensée que les autres types de stratégie de distraction de l’attention en termes de réduction de l’errance mentale et les ressources demandées. Deuxièmement, il est difficile de mea-sûr la tendance de l’esprit errant pour un groupe témoin sans se concentrer sur une stratégie spécifique d’une manière comparable que nous l’avons fait pour les deux groupes de stratégie. Dans un groupe non enseigné, les participants sont susceptibles de chercher des pensées différentes pour s’empêcher de penser à la pensée indésirable (Wegner et coll., 1987). Sans une tâche continue à accomplir, il est difficile de définir ce qui est hors-tâche. Pour les deux groupes de stratégie, l’errance mentale s’est produite, selon sa définition commune, chaque fois que les participants ont détecté que leur attention s’était éloignée de la stratégie enseignée (c.-à-d. se concentrer sur son propre souffle pour le groupe FBS et ses réflexions sur une voiture pour le groupe FDS).<br>D’autres pourraient soutenir que l’avantage d’utiliser FBS sur FDS sur la réduction de l’errance mentale était due plus à une méta-conscience altérée pour le FBS que pour le groupe FDS, puisque l’auto-pris technique que nous avons adoptée considérée comme une mesure de l’errance mentale qui a atteint la méta-conscience (Schooler et coll., 2011). Le groupe FBS détecterait moins d’errances mentales si FBS altéré les capacités de méta-sensibilisation des utilisateurs plus que le FDS. Cette explication implique que FBS serait plus exigeant cognitivement que FDS si elle altéré la capacité de méta-conscience des utilisateurs plus, car il est connu que la conscience des individus de leur l’expérience est affaiblie à mesure que la charge mentale augmente (Baird, Smallwood, Fishman, Mrazek et Schooler, 2013). Cette prédiction est clairement opposée à ce que nous avons constaté que FBS est moins exigeant que FDS et son effet est inde-pendent des capacités de mémoire de travail des utilisateurs.<br>Notre étude a plusieurs contributions au domaine de recherche de la suppression de la pensée. Tout d’abord, même si la pensée suppres-sion et l’errance mentale sont deux domaines distincts mais étroitement liés à la fois concernés par le contrôle mental, la relation entre eux n’a jamais été examinée. L’étude actuelle fait le pont entre ces deux domaines en fournissant un morceau d’evi-dence empirique, pour la première fois, que les échecs de suppression de pensée sont liés à sa tendance à l’errance mentale
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